Claude Blanchard
Page 1 sur 1
Claude Blanchard
par Chantalou Mar 22 Aoû 2006 - 9:37
Champion du système D
Pierre O. Nadeau
Issu des ruelles d'un quartier pauvre, Claude Blanchard incarne l'image du bagarreur sans instruction qui a su s'imposer dans l'arène de la vie grâce au système D, «D» comme débrouillardise et détermination!
Un intéressant portrait de l'homme est tracé dans une biographie publiée, voilà environ trois ans, par France Duval. Formée en littérature à l'UQUAM, l'auteure raconte la vie «dure, folle et intense» du comique décédé en fin de semaine.
«Les Québécois aiment Claude Blanchard parce que son côté rebelle ou ses propos pourfendants ont démontré maintes fois qu'il est un homme libre, profondément libre... Il a donné l'exemple d'une vie dont le moteur est un immense amour de la vie elle-même», raconte l'auteure dans l'ouvrage Claude Blanchard... Une vie d'artiste.
Le récit biographique s'inscrit dans le contexte artistique, social et politique d'une époque d'avant-guerre et d'après-guerre qui a marqué le Québec. «Durant les années 30, rappelle l'auteure, Montréal est surnommée «le petit Chicago»; elle est un lieu privilégié pour la vie nocturne.»
Le Géant Beaupré
Le 19 mai 1932, naît Claude Blanchard, fils de Conrad Blanchard et d'Irène Beaupré.
Il a trois ans lorsque son père meurt, laissant la famille sans le sou. Sa mère doit pourvoir aux besoins des quatre enfants. La femme à la carrure imposante est de la descendance directe du Géant Beaupré. Elle doit se résoudre à l'aide sociale. Claude a vécu les privations, même d'électricité.
«Les planchers étaient glacés; mes tantes et ma mère jouaient aux cartes les pieds dans des boîtes de carton et enveloppées dans des couvertures», racontait Blanchard, qui, gamin, volait de la viande pour nourrir la famille.
Le mafioso reconnu Frank Cotroni, qui a grandi dans le même quartier défavorisé, est décrit par l'auteure comme le premier admirateur de Claude Blanchard,. «Quand il arrivait sur le coin de la rue, qu'il faisait son petit step de danse, tout le monde riait...» «Pour les jeunes de son quartier, Claude personnifiait le rêve en train de devenir réalité.»
Les femmes
«Claude et Frank étaient tous deux aventuriers et très attirés par les femmes. À 17-18 ans, ils étaient très connus dans le quartier. Claude à cause de son humour, mais aussi de son caractère qui le poussait à se battre dès qu'on lui pilait sur le gros orteil, et Frankie pour sa ruse dès qu'on osait se moquer de lui ou de sa famille.»
Frank Cotroni rappelle dans le livre: «Une fois, deux de mes chums sont allés voir Claude en spectacle dans un bar du Vieux-Montréal; il était 1 h du matin et ils étaient arrivés chacun monté sur un cheval. Ils ont attaché les chevaux dehors, à la porte du club, puis sont rentrés voir le show. Quand Claude a su ça, y'a fait rentrer les chevaux dans le bar. Y' avait rien à son épreuve...»
http://www2.canoe.com/artsetculture/actualites/general/archives/2006/08/20060822-094400.html
Pierre O. Nadeau
Issu des ruelles d'un quartier pauvre, Claude Blanchard incarne l'image du bagarreur sans instruction qui a su s'imposer dans l'arène de la vie grâce au système D, «D» comme débrouillardise et détermination!
Un intéressant portrait de l'homme est tracé dans une biographie publiée, voilà environ trois ans, par France Duval. Formée en littérature à l'UQUAM, l'auteure raconte la vie «dure, folle et intense» du comique décédé en fin de semaine.
«Les Québécois aiment Claude Blanchard parce que son côté rebelle ou ses propos pourfendants ont démontré maintes fois qu'il est un homme libre, profondément libre... Il a donné l'exemple d'une vie dont le moteur est un immense amour de la vie elle-même», raconte l'auteure dans l'ouvrage Claude Blanchard... Une vie d'artiste.
Le récit biographique s'inscrit dans le contexte artistique, social et politique d'une époque d'avant-guerre et d'après-guerre qui a marqué le Québec. «Durant les années 30, rappelle l'auteure, Montréal est surnommée «le petit Chicago»; elle est un lieu privilégié pour la vie nocturne.»
Le Géant Beaupré
Le 19 mai 1932, naît Claude Blanchard, fils de Conrad Blanchard et d'Irène Beaupré.
Il a trois ans lorsque son père meurt, laissant la famille sans le sou. Sa mère doit pourvoir aux besoins des quatre enfants. La femme à la carrure imposante est de la descendance directe du Géant Beaupré. Elle doit se résoudre à l'aide sociale. Claude a vécu les privations, même d'électricité.
«Les planchers étaient glacés; mes tantes et ma mère jouaient aux cartes les pieds dans des boîtes de carton et enveloppées dans des couvertures», racontait Blanchard, qui, gamin, volait de la viande pour nourrir la famille.
Le mafioso reconnu Frank Cotroni, qui a grandi dans le même quartier défavorisé, est décrit par l'auteure comme le premier admirateur de Claude Blanchard,. «Quand il arrivait sur le coin de la rue, qu'il faisait son petit step de danse, tout le monde riait...» «Pour les jeunes de son quartier, Claude personnifiait le rêve en train de devenir réalité.»
Les femmes
«Claude et Frank étaient tous deux aventuriers et très attirés par les femmes. À 17-18 ans, ils étaient très connus dans le quartier. Claude à cause de son humour, mais aussi de son caractère qui le poussait à se battre dès qu'on lui pilait sur le gros orteil, et Frankie pour sa ruse dès qu'on osait se moquer de lui ou de sa famille.»
Frank Cotroni rappelle dans le livre: «Une fois, deux de mes chums sont allés voir Claude en spectacle dans un bar du Vieux-Montréal; il était 1 h du matin et ils étaient arrivés chacun monté sur un cheval. Ils ont attaché les chevaux dehors, à la porte du club, puis sont rentrés voir le show. Quand Claude a su ça, y'a fait rentrer les chevaux dans le bar. Y' avait rien à son épreuve...»
http://www2.canoe.com/artsetculture/actualites/general/archives/2006/08/20060822-094400.html
Chantalou- L'arbre des souvenirs V.I.P
-
Nombre de messages : 22135
Age : 50
Localisation : Rive-Sud de Qc
Emploi : Maman temps plein
Loisirs : Scrap digital, photos, beaucoup de bénévolat
État civil : Bien mariée
Date d'inscription : 14/04/2006 -
Re: Claude Blanchard
par Chantalou Mar 22 Aoû 2006 - 9:39
Actif jusqu'au dernier moment
Agnès Gaudet Le Journal de Montréal
La veille de son décès, Claude Blanchard conduisait lui-même sa voiture et poussait encore de nouvelles jokes.
C'est ce que son chef d'orchestre et ami depuis 30 ans, André Labonté, s'est plu à révéler au Journal de Montréal hier.
Samedi matin, M. Blanchard a rendu une petite visite de courtoisie à son copain: «Il est venu placoter un peu, il semblait fatigué, mais parce qu'il venait d'être opéré, j'en ai déduit qu'il allait malgré tout très bien, raconte M. Labonté, ému. J'étais loin de me douter qu'il partirait le lendemain matin.»
Avec son ami intime, Claude Blanchard en a profité pour lancer quelques bonnes blagues et lui faire part de son désir de remonter sur scène: «Laisse-moi aller mieux, on va reprendre la tournée, a-t-il confié la veille de son décès. Je vais aller voir mon monde!»
Il en avait assez
Selon son ami, Claude Blanchard souhaitait retrouver ses fans sur scène dès que possible, mais il avait commencé à lâcher prise: «Il en parlait à mots couverts, confie M. Labonté. Il en avait assez. Cette nouvelle opération prévue était de trop.»
André Labonté, que Claude Blanchard surnommait Dédé, était très proche du comédien. Les deux hommes s'étaient connus à l'époque du cabaret la Cravate Blanche et collaboraient toujours lors des deux dernières séries de spectacles de M. Blanchard, C'est beau la vie et Pour une dernière fois?. Ils jouaient au golf plusieurs fois par semaine et se parlaient pratiquement tous les jours au téléphone.
Sa femme «à terre»
«Claude était un homme fier et dur pour son corps. Il était droit comme un chêne. Après l'opération qu'il a subie (il y a près de trois ans) pour un anévrisme à l'aorte abdominale, il devait être 15 jours à l'hôpital. Cinq jours plus tard, il était déjà revenu à la maison, raconte M. Labonté. Je me demandais comment il faisait.»
André Labonté a communiqué hier avec la femme de Claude Blanchard, Louise Harrison. Cette dernière, éplorée, n'a pu parler longtemps: «Elle est à terre. Elle se retrouve seule dans la vie», constate l'ami.
http://www2.canoe.com/artsetculture/actualites/general/archives/2006/08/20060822-093200.html
Agnès Gaudet Le Journal de Montréal
La veille de son décès, Claude Blanchard conduisait lui-même sa voiture et poussait encore de nouvelles jokes.
C'est ce que son chef d'orchestre et ami depuis 30 ans, André Labonté, s'est plu à révéler au Journal de Montréal hier.
Samedi matin, M. Blanchard a rendu une petite visite de courtoisie à son copain: «Il est venu placoter un peu, il semblait fatigué, mais parce qu'il venait d'être opéré, j'en ai déduit qu'il allait malgré tout très bien, raconte M. Labonté, ému. J'étais loin de me douter qu'il partirait le lendemain matin.»
Avec son ami intime, Claude Blanchard en a profité pour lancer quelques bonnes blagues et lui faire part de son désir de remonter sur scène: «Laisse-moi aller mieux, on va reprendre la tournée, a-t-il confié la veille de son décès. Je vais aller voir mon monde!»
Il en avait assez
Selon son ami, Claude Blanchard souhaitait retrouver ses fans sur scène dès que possible, mais il avait commencé à lâcher prise: «Il en parlait à mots couverts, confie M. Labonté. Il en avait assez. Cette nouvelle opération prévue était de trop.»
André Labonté, que Claude Blanchard surnommait Dédé, était très proche du comédien. Les deux hommes s'étaient connus à l'époque du cabaret la Cravate Blanche et collaboraient toujours lors des deux dernières séries de spectacles de M. Blanchard, C'est beau la vie et Pour une dernière fois?. Ils jouaient au golf plusieurs fois par semaine et se parlaient pratiquement tous les jours au téléphone.
Sa femme «à terre»
«Claude était un homme fier et dur pour son corps. Il était droit comme un chêne. Après l'opération qu'il a subie (il y a près de trois ans) pour un anévrisme à l'aorte abdominale, il devait être 15 jours à l'hôpital. Cinq jours plus tard, il était déjà revenu à la maison, raconte M. Labonté. Je me demandais comment il faisait.»
André Labonté a communiqué hier avec la femme de Claude Blanchard, Louise Harrison. Cette dernière, éplorée, n'a pu parler longtemps: «Elle est à terre. Elle se retrouve seule dans la vie», constate l'ami.
http://www2.canoe.com/artsetculture/actualites/general/archives/2006/08/20060822-093200.html
Chantalou- L'arbre des souvenirs V.I.P
-
Nombre de messages : 22135
Age : 50
Localisation : Rive-Sud de Qc
Emploi : Maman temps plein
Loisirs : Scrap digital, photos, beaucoup de bénévolat
État civil : Bien mariée
Date d'inscription : 14/04/2006 -
Re: Claude Blanchard
par Chantalou Mar 22 Aoû 2006 - 9:40
Claude Blanchard 1932-2006
Virginie: une équipe ébranlée
Dany Bouchard Le Journal de Montréal
Toute l'équipe de Virginie est passablement ébranlée par la mort de Claude Blanchard, comédien dans l'émission depuis dix ans.
«Il va beaucoup nous manquer», confie Fabienne Larouche, la gorge nouée par l'émotion.
Celle que Claude Blanchard avait l'habitude d'appeler «sa chérie» ou «son bébé» lui a parlé pour la dernière fois au téléphone mercredi.
«Il m'a dit qu'il était très fatigué. Il était vraiment très
.»
Amie de Claude Blanchard, Fabienne Larouche lui a écrit le rôle de Pierre Boivin dans Virginie et celui de Jacques Marchand dans Music Hall.
«C'est un peu notre culture qui s'en va. Claude Blanchard, c'était le début de l'humour au Québec, l'époque des cabarets», constate-t-elle tristement.
«Mes pensées vont vraiment à toute sa famille», ajoute-t-elle.
Rieur et paternel
Connu comme étant un homme discret, pudique et réservé qui entretenait de solides liens familiaux, Claude Blanchard était vu par plusieurs comédiens de Virginie comme un sage, un mentor et un rayon de soleil.
«Dès qu'il entrait dans le studio, qu'il fût six heures et quart le matin ou quatre heures de l'après-midi, c'était le rire, la joie», confie Monique Chabot, qui campe le rôle de son épouse dans le populaire téléroman.
«Au tout début, il y a dix ans, j'avais un trac fou et il me sécurisait énormément.
«Je n'étais jamais contente de moi, je voulais toujours revoir les scènes et il me prenait la main en me disant que tout était parfait. C'était presque paternel», raconte-t-elle, disant avoir accueilli la nouvelle de sa mort comme un «coup de poing».
«C'est le choc», dit-elle en précisant qu'elle lui a parlé pour la toute dernière fois au téléphone la semaine dernière.
«Sa voix était éteinte, étouffée, à bout de souffle. Je lui ai dit, avant de raccrocher : Je t'embrasse, je t'aime. Ça a été nos adieux», confie-t-elle, émue.
«Un sage»
Chantal Fontaine, qui campe le rôle de sa fille au petit écran, dit avoir vu un sage en Claude Blanchard capable de lui prodiguer les meilleurs conseils.
«C'était mon papa télévisuel depuis tant d'années qu'il m'appelait sa petite fille», confie-t-elle avec émotion.
«Je me souviendrai toujours des moments dans sa loge où on répétait nos textes et où il me donnait des conseils.
«Je me sentais vraiment très proche de lui à ce moment-là.»
Bien qu'elle le sût depuis le mois de mai, Chantal Fontaine dit avoir été surprise par la rapidité de son départ.
«En même temps, je me dis que c'est tant mieux que ce soit son coeur qui l'ait emporté, qu'il n'aura pas à souffrir de son cancer. C'est une libération pour lui», dit-elle avec tristesse.
La disparition de son personnage
L'enregistrement des nouveaux épisodes de Virginie a repris le 17 juillet dernier.
Tenant compte de son état de santé, l'auteure Fabienne Larouche a pris soin de ne le faire apparaître dans aucune scène. «C'est clair que son personnage disparaîtra, mais je ne sais pas encore s'il va mourir», indique l'auteure.
http://www2.canoe.com/artsetculture/actualites/general/archives/2006/08/20060821-085101.html
Virginie: une équipe ébranlée
Dany Bouchard Le Journal de Montréal
Toute l'équipe de Virginie est passablement ébranlée par la mort de Claude Blanchard, comédien dans l'émission depuis dix ans.
«Il va beaucoup nous manquer», confie Fabienne Larouche, la gorge nouée par l'émotion.
Celle que Claude Blanchard avait l'habitude d'appeler «sa chérie» ou «son bébé» lui a parlé pour la dernière fois au téléphone mercredi.
«Il m'a dit qu'il était très fatigué. Il était vraiment très
.» Amie de Claude Blanchard, Fabienne Larouche lui a écrit le rôle de Pierre Boivin dans Virginie et celui de Jacques Marchand dans Music Hall.
«C'est un peu notre culture qui s'en va. Claude Blanchard, c'était le début de l'humour au Québec, l'époque des cabarets», constate-t-elle tristement.
«Mes pensées vont vraiment à toute sa famille», ajoute-t-elle.
Rieur et paternel
Connu comme étant un homme discret, pudique et réservé qui entretenait de solides liens familiaux, Claude Blanchard était vu par plusieurs comédiens de Virginie comme un sage, un mentor et un rayon de soleil.
«Dès qu'il entrait dans le studio, qu'il fût six heures et quart le matin ou quatre heures de l'après-midi, c'était le rire, la joie», confie Monique Chabot, qui campe le rôle de son épouse dans le populaire téléroman.
«Au tout début, il y a dix ans, j'avais un trac fou et il me sécurisait énormément.
«Je n'étais jamais contente de moi, je voulais toujours revoir les scènes et il me prenait la main en me disant que tout était parfait. C'était presque paternel», raconte-t-elle, disant avoir accueilli la nouvelle de sa mort comme un «coup de poing».
«C'est le choc», dit-elle en précisant qu'elle lui a parlé pour la toute dernière fois au téléphone la semaine dernière.
«Sa voix était éteinte, étouffée, à bout de souffle. Je lui ai dit, avant de raccrocher : Je t'embrasse, je t'aime. Ça a été nos adieux», confie-t-elle, émue.
«Un sage»
Chantal Fontaine, qui campe le rôle de sa fille au petit écran, dit avoir vu un sage en Claude Blanchard capable de lui prodiguer les meilleurs conseils.
«C'était mon papa télévisuel depuis tant d'années qu'il m'appelait sa petite fille», confie-t-elle avec émotion.
«Je me souviendrai toujours des moments dans sa loge où on répétait nos textes et où il me donnait des conseils.
«Je me sentais vraiment très proche de lui à ce moment-là.»
Bien qu'elle le sût
depuis le mois de mai, Chantal Fontaine dit avoir été surprise par la rapidité de son départ. «En même temps, je me dis que c'est tant mieux que ce soit son coeur qui l'ait emporté, qu'il n'aura pas à souffrir de son cancer. C'est une libération pour lui», dit-elle avec tristesse.
La disparition de son personnage
L'enregistrement des nouveaux épisodes de Virginie a repris le 17 juillet dernier.
Tenant compte de son état de santé, l'auteure Fabienne Larouche a pris soin de ne le faire apparaître dans aucune scène. «C'est clair que son personnage disparaîtra, mais je ne sais pas encore s'il va mourir», indique l'auteure.
http://www2.canoe.com/artsetculture/actualites/general/archives/2006/08/20060821-085101.html
Chantalou- L'arbre des souvenirs V.I.P
-
Nombre de messages : 22135
Age : 50
Localisation : Rive-Sud de Qc
Emploi : Maman temps plein
Loisirs : Scrap digital, photos, beaucoup de bénévolat
État civil : Bien mariée
Date d'inscription : 14/04/2006 -
Re: Claude Blanchard
par Chantalou Mar 22 Aoû 2006 - 9:41
Les funérailles de Claude Blanchard célébrées le 1er septembre
(PC)
Les obsèques de Claude Blanchard auront lieu le vendredi 1er septembre à 11h en l'église Saint-Sulpice, à Repentigny. Sa famille a indiqué que la cérémonie serait ouverte à tous.
Hier matin (lundi), les comédiens prenant part à l'enregistrement de l'émission Virginie, dont Claude Blanchard fait partie de la distribution, se sont recueillis en silence pendant un moment.
M. Blanchard est décédé dimanche matin d'un infarctus. Il avait 74 ans. Il souffrait d'un cancer au poumon et d'un autre à l'oesophage.
Par ailleurs, l'agence immobilière Proprio Direct a indiqué qu'elle remisait sa prochaine campagne publicitaire. M. Blanchard était le porte-parole de l'entreprise depuis 2004 et devait apparaître dans une série de nouvelles publicités, cet automne, à la radio, à la télévision et dans les journaux.
Les publicités déjà en rotation à la télé ont rapidement été retirées des ondes. Celles préparées pour la radio et les journaux n'étaient prévues que pour après la fête du Travail.
http://lcn.canoe.com/lcn/artsetspectacles/general/archives/2006/08/20060822-085301.html
(PC)
Les obsèques de Claude Blanchard auront lieu le vendredi 1er septembre à 11h en l'église Saint-Sulpice, à Repentigny. Sa famille a indiqué que la cérémonie serait ouverte à tous.
Hier matin (lundi), les comédiens prenant part à l'enregistrement de l'émission Virginie, dont Claude Blanchard fait partie de la distribution, se sont recueillis en silence pendant un moment.
M. Blanchard est décédé dimanche matin d'un infarctus. Il avait 74 ans. Il souffrait d'un cancer au poumon et d'un autre à l'oesophage.
Par ailleurs, l'agence immobilière Proprio Direct a indiqué qu'elle remisait sa prochaine campagne publicitaire. M. Blanchard était le porte-parole de l'entreprise depuis 2004 et devait apparaître dans une série de nouvelles publicités, cet automne, à la radio, à la télévision et dans les journaux.
Les publicités déjà en rotation à la télé ont rapidement été retirées des ondes. Celles préparées pour la radio et les journaux n'étaient prévues que pour après la fête du Travail.
http://lcn.canoe.com/lcn/artsetspectacles/general/archives/2006/08/20060822-085301.html
Chantalou- L'arbre des souvenirs V.I.P
-
Nombre de messages : 22135
Age : 50
Localisation : Rive-Sud de Qc
Emploi : Maman temps plein
Loisirs : Scrap digital, photos, beaucoup de bénévolat
État civil : Bien mariée
Date d'inscription : 14/04/2006 -
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum|
|
|