La naissance de William (version longue)
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La naissance de William (version longue)
Attention, récit d'un accouchement particulièrement long et pénible. Pourrait faire peur à des personnes très sensibles (comme moi!).
Après une longue grossesse remplis d'angoisses (non fondées), je commençais à désespérer d'avoir des contractions. Il faut savoir que ma mère n'en a jamais eu et que son col ne se dilate pas du tout. Je revenais de chaque rendez-vous avec mon médecin, en larmes. Toujours pas d'évolution pour mon col malgré l'huile d'onagre avaler et mis directement au col à partir de la 39 semaine.
À 41 semaine et demie, après avec fait vérifier le niveau de liquide qui restait et les signes vitaux de mon bébé, mon médecin à décidée de planifier une provocation pour dimanche le 24 aout, à 42 semaines. Je devais rappeler le samedi d'avant après 16h pour savoir l'heure à laquelle je devais rentrer pour avoir le Cervidil et donc préparer mon col pour me faire déclencher le lendemain matin. Cette annonce me rend triste, car j'avais tellement espérer avoir des contractions et un accouchement naturel.
En sortant de l'hôpital, j'appelle mon accompagnatrice à la naissance pour le lui annoncer et elle m'apprend une mauvais nouvelle : C'est la seule journée où elle ne peut vraiment pas venir! Je suis un peu déçue, mais bon... Elle va me mettre en contact avec elle autre accompagnatrice du même style qu'elle et en qui elle a totalement confiance et me demande si ça me convient. Moi, tant que j'ai quelqu'un pour nous aider (moi et mon conjoint), ça me va.
Je décide de prendre un rendez-vous d'urgence avec mon ostéopathe pour le vendredi avant. Très bonne décision, c'est probablement grâce à ça que mon col à enfin commencer à bouger. De plus, nous nous rendons compte que j'ai quelque chose qui me bloque encore. Je veux, à la fois, accoucher et garder mon bébé en moi. Un coup je me détend et le laisse descendre, le coup d'après, je le fais remonter (et non, il était toujours pas fixé!). Nouvelle donnée dur pour le moral, mais qui me fait réfléchir et va me permettre de lâcher un peu plus prise.
Le samedi, mon conjoint et moi avons décider de prendre cette journée relaxe, notre dernière journée en temps que couple avant l'arriver de notre petit bébé. Comme l'hôpital où je vais accoucher est complètement dans l'ouest de Montréal et que nous habitons complètement dans l'est, nous avons réserver dans un restaurant à proximité.
C'est vers 2h du matin, samedi le 23 aout que je me réveil avec mes premières contractions. Environ 2 par périodes de 45 minutes. Je ne réveil pas mon conjoint, je préfère le laisser se reposer. Je dors un peu entre les contractions qui ne sont pas encore très douloureuses. C'est vers 7 heures que je lui annonce la bonne nouvelle. Nous prenons la journée tout doucement, le temps de finir les derniers préparatifs des valises pour l'hôpital et ranger l'appartement. Puis, nous allons diner à la boulangerie près de chez nous. Les contractions se rapprochent un peu. Le moment de partir pour le restaurant du soir approche et je suis aux 15 minutes. Nous décidons d'y aller tout de même, je dois rentrer à l'hôpital pour 21h. Vers la fin du repas, je suis aux 10, puis au 5 minutes.
Nous nous dirigeons enfin vers l'hôpital. Après m'avoir examiner, mon col était effacer à 70%, il est décider de ne pas mettre de Cervidil. Surtout qu'ils manquent de personnel ce soir là (et que ce sera une fin de semaine vraiment très occuper au final). On m'installe dans une chambre temporaire le temps que le travail avance (j'y passerais presque tout mon travail finalement). La remplaçante de mon accompagnatrice arrive alors que je suis dans le tourbillon et que je me concentre sur mes contractions.
Durant cette nuit là, j'ai pris 4 bains, j'ai essayée toutes les positions que j'ai pu imaginées et proposées (couchée, à 4 pattes, debout, assis, ballon d'exercice, marche, etc). C'est vers 2h du matin, encore une fois, que mon travail est passer à 5 minutes et rapidement à 3 minutes. À un moment, j'ai complètement perdu la notion du temps. C'était contractions accompagné de mes cris, larmes (je réclamais l'épidural, mais j'avais demander à mon conjoint et à accompagnatrice de ne pas céder à mes demandes).
Notre accompagnatrice remplaçante devais malheureusement nous quitter. Une de ses clientes était ouverte à 7. Elle nous a donc envoyer une autre accompagnatrice. À un moment j'ai demander à être examiner à nouveau (environ 6h après le dernier examen de mon col). Je voulais être encourager par les progrès du travail. Malheureusement, c'est tout le contraire qui c'est produit! J'étais encore à 1 et demi, aucun avancement en 6 douloureuses heures! Après ce moment, je n'ai plus du tout été capable de me détendre entre 2 contractions, d'autant plus qu'elles étaient suivit de douleurs dans le bas du dos et dans les jambes (sans doute parce qu'il poussait sur mon sacrum).
Après discutions entre moi, mon conjoint et mon accompagnatrice, il est déterminer que j'ai fais tout ce qu'il était humainement possible et supporter bien plus que j'étais capable de supporter. J'ai donc sérieusement demandée l'épidural. Décision qui m'a soulagée, mais fait culpabiliser tout de même.
Qui dit épidural, dit changer de chambre. Donc attendre qu'une chambre d'accouchement (et de séjour) soit libre. En attendant, on m'a installer un soluté. Une fois déménager dans la nouvelle chambre, je n'ai pas eu a attendre très longtemps. L'épidural à été installer ainsi qu'une sonde urinaire (chose à laquelle je m'étais pas attendu) parce que j'avais les jambes trop engourdis pour marcher. Le monitoring est aussi installé. Une chose que je retiens? Le soulagement! Fini la douleur, d'un seul coup. Je peu enfin me reposer après tout ce temps et une nuit blanche de plus.
Mon accompagnatrice à la naissance arrive enfin et prend la relève de la remplaçante de sa remplaçante. On discute un peu et j'en profite pour me reposer. Comme souvent, l'épidural à effet de ralentir le travail. Mon col est à 3 et demi et ne semble pas vouloir bouger. On m'installe le truc qui fait déclencher le travail. Pas très longtemps après, l'infirmière vient vérifier les signes vitaux de mon bébé et constate que son coeur à parfois tendance à baisser lorsque j'ai des contractions. Mon médecin est prévenue. Mes eaux sont crevés et il y a du méconium. Comme son coeur continue à montrer des signes de faiblesse, mon médecin nous parle de césarienne. Ce n'est pas encore urgent, alors elle nous laisse le choix. Choix vite fait, c'est la vie de notre bébé qui est en jeu et il serait stupide d'attendre et de l'affaiblir encore plus. Surtout qu'il reste trop de travail à faire pour le col.
On m'annonce qu'il va y avoir 2 femmes avant moi pour la césarienne, ça me laisse donc un peu de temps pour me préparer psychologiquement. Eh bien non! Finalement, on me passe avant! Et il faut faire vite pour ne pas perdre de temps! C'est la bousculade! Mon conjoint attrape l'appareil photo comme le suggère notre accompagnatrice et me rejoint. Moi, je suis conduit en vitesse au bloc opératoire. Je vous dis pas dans quel état d'angoisse je suis! J'ai peur de mourir et peur pour mon bébé surtout. À l'annonce de la césarienne, j'ai fais promettre à mon conjoint de choisir le bébé et de ne jamais lui en vouloir.
Arriver dans la salle d'opération, l'anesthésiste m'attache les bras. Chose que je m'attendais pas et, en plus, il le fait si vite et si brusquement que ça me fait mal. Une infirmière vient me parler et me dire qu'elle va être avec moi jusqu'à ce que mon conjoint arrive, il s'habille, et m'explique ce qui va se passer (et fait en sorte que les liens qui m'attachent me fassent moins mal). Mon conjoint arrive un peu avant que mon médecin commence. Je suis un peu soulager.
J'ai un tube dans le nez pour respirer. Je ne suis pas habituer à respirer par le nez, je suis pas préparer à ça et je me met à mal respirer par la bouche. Je m'étouffe donc et me met à tousser sans pouvoir m'arrêter. J'arrive à contrôler la toux le temps que le médecin coupe et sort le bébé, mais pas plus longtemps. Je tousse tellement que je ai mal au coeur sur le point de vomir et je commence à paniquer.
Tout ce que je me souviens, c'est d'avoir entendu mon bébé et d'avoir vu son petit bras mauve dans la couveuse à coté. Ils m'ont donnés un calmant qui m'a mis KO. Mon conjoint à fait des photos que j'ai pu voir par la suite!
Je me suis à moitié réveiller plus tard. Je n'étais pas très bien, je voulais à tout pris me réveiller (je me suis donner des claques dans le visage pour me réveiller, sans succès). Je voulais a tout prix voir mon bébé et lui donner le sein. A mon sens, trop de temps s'était déjà passer. Je n'avais pas eu le peau à peau que je souhaitais tant! J'ai fini par lâcher prise et me rendormir. C'est mon accompagnatrice qui à mis William au sien pour sa première tété qui à duré 45 minutes.
Ce n'est que le lendemain que j'ai pu, enfin, contempler et prendre ma petite merveille, mon petit ange.
William est donc né par césarienne non prévue, le 24 aout 2008 après environ 41 heures de travail, dont au moins 37 heures sans épidural.
Après une longue grossesse remplis d'angoisses (non fondées), je commençais à désespérer d'avoir des contractions. Il faut savoir que ma mère n'en a jamais eu et que son col ne se dilate pas du tout. Je revenais de chaque rendez-vous avec mon médecin, en larmes. Toujours pas d'évolution pour mon col malgré l'huile d'onagre avaler et mis directement au col à partir de la 39 semaine.
À 41 semaine et demie, après avec fait vérifier le niveau de liquide qui restait et les signes vitaux de mon bébé, mon médecin à décidée de planifier une provocation pour dimanche le 24 aout, à 42 semaines. Je devais rappeler le samedi d'avant après 16h pour savoir l'heure à laquelle je devais rentrer pour avoir le Cervidil et donc préparer mon col pour me faire déclencher le lendemain matin. Cette annonce me rend triste, car j'avais tellement espérer avoir des contractions et un accouchement naturel.
En sortant de l'hôpital, j'appelle mon accompagnatrice à la naissance pour le lui annoncer et elle m'apprend une mauvais nouvelle : C'est la seule journée où elle ne peut vraiment pas venir! Je suis un peu déçue, mais bon... Elle va me mettre en contact avec elle autre accompagnatrice du même style qu'elle et en qui elle a totalement confiance et me demande si ça me convient. Moi, tant que j'ai quelqu'un pour nous aider (moi et mon conjoint), ça me va.
Je décide de prendre un rendez-vous d'urgence avec mon ostéopathe pour le vendredi avant. Très bonne décision, c'est probablement grâce à ça que mon col à enfin commencer à bouger. De plus, nous nous rendons compte que j'ai quelque chose qui me bloque encore. Je veux, à la fois, accoucher et garder mon bébé en moi. Un coup je me détend et le laisse descendre, le coup d'après, je le fais remonter (et non, il était toujours pas fixé!). Nouvelle donnée dur pour le moral, mais qui me fait réfléchir et va me permettre de lâcher un peu plus prise.
Le samedi, mon conjoint et moi avons décider de prendre cette journée relaxe, notre dernière journée en temps que couple avant l'arriver de notre petit bébé. Comme l'hôpital où je vais accoucher est complètement dans l'ouest de Montréal et que nous habitons complètement dans l'est, nous avons réserver dans un restaurant à proximité.
C'est vers 2h du matin, samedi le 23 aout que je me réveil avec mes premières contractions. Environ 2 par périodes de 45 minutes. Je ne réveil pas mon conjoint, je préfère le laisser se reposer. Je dors un peu entre les contractions qui ne sont pas encore très douloureuses. C'est vers 7 heures que je lui annonce la bonne nouvelle. Nous prenons la journée tout doucement, le temps de finir les derniers préparatifs des valises pour l'hôpital et ranger l'appartement. Puis, nous allons diner à la boulangerie près de chez nous. Les contractions se rapprochent un peu. Le moment de partir pour le restaurant du soir approche et je suis aux 15 minutes. Nous décidons d'y aller tout de même, je dois rentrer à l'hôpital pour 21h. Vers la fin du repas, je suis aux 10, puis au 5 minutes.
Nous nous dirigeons enfin vers l'hôpital. Après m'avoir examiner, mon col était effacer à 70%, il est décider de ne pas mettre de Cervidil. Surtout qu'ils manquent de personnel ce soir là (et que ce sera une fin de semaine vraiment très occuper au final). On m'installe dans une chambre temporaire le temps que le travail avance (j'y passerais presque tout mon travail finalement). La remplaçante de mon accompagnatrice arrive alors que je suis dans le tourbillon et que je me concentre sur mes contractions.
Durant cette nuit là, j'ai pris 4 bains, j'ai essayée toutes les positions que j'ai pu imaginées et proposées (couchée, à 4 pattes, debout, assis, ballon d'exercice, marche, etc). C'est vers 2h du matin, encore une fois, que mon travail est passer à 5 minutes et rapidement à 3 minutes. À un moment, j'ai complètement perdu la notion du temps. C'était contractions accompagné de mes cris, larmes (je réclamais l'épidural, mais j'avais demander à mon conjoint et à accompagnatrice de ne pas céder à mes demandes).
Notre accompagnatrice remplaçante devais malheureusement nous quitter. Une de ses clientes était ouverte à 7. Elle nous a donc envoyer une autre accompagnatrice. À un moment j'ai demander à être examiner à nouveau (environ 6h après le dernier examen de mon col). Je voulais être encourager par les progrès du travail. Malheureusement, c'est tout le contraire qui c'est produit! J'étais encore à 1 et demi, aucun avancement en 6 douloureuses heures! Après ce moment, je n'ai plus du tout été capable de me détendre entre 2 contractions, d'autant plus qu'elles étaient suivit de douleurs dans le bas du dos et dans les jambes (sans doute parce qu'il poussait sur mon sacrum).
Après discutions entre moi, mon conjoint et mon accompagnatrice, il est déterminer que j'ai fais tout ce qu'il était humainement possible et supporter bien plus que j'étais capable de supporter. J'ai donc sérieusement demandée l'épidural. Décision qui m'a soulagée, mais fait culpabiliser tout de même.
Qui dit épidural, dit changer de chambre. Donc attendre qu'une chambre d'accouchement (et de séjour) soit libre. En attendant, on m'a installer un soluté. Une fois déménager dans la nouvelle chambre, je n'ai pas eu a attendre très longtemps. L'épidural à été installer ainsi qu'une sonde urinaire (chose à laquelle je m'étais pas attendu) parce que j'avais les jambes trop engourdis pour marcher. Le monitoring est aussi installé. Une chose que je retiens? Le soulagement! Fini la douleur, d'un seul coup. Je peu enfin me reposer après tout ce temps et une nuit blanche de plus.
Mon accompagnatrice à la naissance arrive enfin et prend la relève de la remplaçante de sa remplaçante. On discute un peu et j'en profite pour me reposer. Comme souvent, l'épidural à effet de ralentir le travail. Mon col est à 3 et demi et ne semble pas vouloir bouger. On m'installe le truc qui fait déclencher le travail. Pas très longtemps après, l'infirmière vient vérifier les signes vitaux de mon bébé et constate que son coeur à parfois tendance à baisser lorsque j'ai des contractions. Mon médecin est prévenue. Mes eaux sont crevés et il y a du méconium. Comme son coeur continue à montrer des signes de faiblesse, mon médecin nous parle de césarienne. Ce n'est pas encore urgent, alors elle nous laisse le choix. Choix vite fait, c'est la vie de notre bébé qui est en jeu et il serait stupide d'attendre et de l'affaiblir encore plus. Surtout qu'il reste trop de travail à faire pour le col.
On m'annonce qu'il va y avoir 2 femmes avant moi pour la césarienne, ça me laisse donc un peu de temps pour me préparer psychologiquement. Eh bien non! Finalement, on me passe avant! Et il faut faire vite pour ne pas perdre de temps! C'est la bousculade! Mon conjoint attrape l'appareil photo comme le suggère notre accompagnatrice et me rejoint. Moi, je suis conduit en vitesse au bloc opératoire. Je vous dis pas dans quel état d'angoisse je suis! J'ai peur de mourir et peur pour mon bébé surtout. À l'annonce de la césarienne, j'ai fais promettre à mon conjoint de choisir le bébé et de ne jamais lui en vouloir.
Arriver dans la salle d'opération, l'anesthésiste m'attache les bras. Chose que je m'attendais pas et, en plus, il le fait si vite et si brusquement que ça me fait mal. Une infirmière vient me parler et me dire qu'elle va être avec moi jusqu'à ce que mon conjoint arrive, il s'habille, et m'explique ce qui va se passer (et fait en sorte que les liens qui m'attachent me fassent moins mal). Mon conjoint arrive un peu avant que mon médecin commence. Je suis un peu soulager.
J'ai un tube dans le nez pour respirer. Je ne suis pas habituer à respirer par le nez, je suis pas préparer à ça et je me met à mal respirer par la bouche. Je m'étouffe donc et me met à tousser sans pouvoir m'arrêter. J'arrive à contrôler la toux le temps que le médecin coupe et sort le bébé, mais pas plus longtemps. Je tousse tellement que je ai mal au coeur sur le point de vomir et je commence à paniquer.
Tout ce que je me souviens, c'est d'avoir entendu mon bébé et d'avoir vu son petit bras mauve dans la couveuse à coté. Ils m'ont donnés un calmant qui m'a mis KO. Mon conjoint à fait des photos que j'ai pu voir par la suite!
Je me suis à moitié réveiller plus tard. Je n'étais pas très bien, je voulais à tout pris me réveiller (je me suis donner des claques dans le visage pour me réveiller, sans succès). Je voulais a tout prix voir mon bébé et lui donner le sein. A mon sens, trop de temps s'était déjà passer. Je n'avais pas eu le peau à peau que je souhaitais tant! J'ai fini par lâcher prise et me rendormir. C'est mon accompagnatrice qui à mis William au sien pour sa première tété qui à duré 45 minutes.
Ce n'est que le lendemain que j'ai pu, enfin, contempler et prendre ma petite merveille, mon petit ange.
William est donc né par césarienne non prévue, le 24 aout 2008 après environ 41 heures de travail, dont au moins 37 heures sans épidural.
Ziel- Petite Abeille
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Re: La naissance de William (version longue)
Très beau récit, on ressent l'émotion.
Une naissance pas ordinaire, pour un William extraordinaire.
Une naissance pas ordinaire, pour un William extraordinaire.
Re: La naissance de William (version longue)
ses parfois trsite quand les chose se passe pas comme on le voudrais .. mais tout de meme lomportant ses que la fin soit belle donc felicitation a vous et bienvenue william
anne- Charmeuse de Miel d'Or
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Re: La naissance de William (version longue)
Oufff... que d'émotions !!!
Heureusement.. la fin est belle... tu as un beau bébé en santé !
Heureusement.. la fin est belle... tu as un beau bébé en santé !
* Véro *- Gardienne du Jardin
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Re: La naissance de William (version longue)
Bonjour Ziel,
Je remarque que tu restes encore marquée par cette accouchement et je peux aisément te comprendre.
J'ai eu également un premier accouchement long et difficile (premières contractions un vendredi à minuit, ma fille est née le dimanche matin à 7h12, après 5h de péridurale et 3h30 de poussée, les forceps n'étaient pas loin...)
Le second a été complètement différent, court, intense, magique et formidable. Donc dis toi que cette mauvaise expérience n'est pas forcée de se répéter pour toi!
Je te suggère, si jamais tu décides de te relancer dans l'aventure une seconde fois, de prendre rendez vous avec une kinesiologue périnatale. Je crois que cela vous aiderait, à la fois le bébé et toi, qui me parait d'une nature très angoissée.
http://www.laparoleaubebe.com/
N'hésite pas dans ce cas à refaire appel à une accompagnante, parce que le soutien lors d'un AVAC (accouchement vaginal après césarienne) si tu décidais de le tenter, est également primordial.
Et félicitations pour ton petit William!
Je remarque que tu restes encore marquée par cette accouchement et je peux aisément te comprendre.
J'ai eu également un premier accouchement long et difficile (premières contractions un vendredi à minuit, ma fille est née le dimanche matin à 7h12, après 5h de péridurale et 3h30 de poussée, les forceps n'étaient pas loin...)
Le second a été complètement différent, court, intense, magique et formidable. Donc dis toi que cette mauvaise expérience n'est pas forcée de se répéter pour toi!
Je te suggère, si jamais tu décides de te relancer dans l'aventure une seconde fois, de prendre rendez vous avec une kinesiologue périnatale. Je crois que cela vous aiderait, à la fois le bébé et toi, qui me parait d'une nature très angoissée.
http://www.laparoleaubebe.com/
N'hésite pas dans ce cas à refaire appel à une accompagnante, parce que le soutien lors d'un AVAC (accouchement vaginal après césarienne) si tu décidais de le tenter, est également primordial.
Et félicitations pour ton petit William!
Calipso- Charmeuse de Miel d'Or
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Emploi : Aide-natale pour le CSSS Jeanne Mance - accompagnante à la naissance et éducatrice périnatale
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État civil : mariée
Date d'inscription : 13/06/2008
Re: La naissance de William (version longue)
Oufff tout un accouchement, mais vous avez un beau William tout en santé
Félicitation
Félicitation
Gabrielle- Charmeuse de Miel d'Or
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Re: La naissance de William (version longue)
Merci à vous toutes!
Merci pour le lien, je vais aller voir ça!
J'aimerais tellement... Mais en même temps, je viens d'avoir 29 ans et j'avais pas du tout prévue attendre si longtemps pour le prochain bébé (2 ans pour un AVAC)... En fait, je veux 4 enfants! Sauf que par césarienne c'est 3 max je crois non? Ça me rend particulièrement triste pour cette raison... À moins d'avoir des jumeaux ou attendre pour un AVAC je risque de devoir arrêter à 3...Calipso a écrit:N'hésite pas dans ce cas à refaire appel à une accompagnante, parce que le soutien lors d'un AVAC (accouchement vaginal après césarienne) si tu décidais de le tenter, est également primordial.
Merci pour le lien, je vais aller voir ça!
Ziel- Petite Abeille
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Date d'inscription : 17/06/2008
Re: La naissance de William (version longue)
Félicitation pour ton beau William!!!
Mère Poule- Les Clés du Jardin
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Date d'inscription : 14/04/2006
Re: La naissance de William (version longue)
Félicitation pour ton beau bébé!
Tu n'a peut-être pas eu un accouchement idéal mais ton trésor est maintenant là!
Pour ce qui est des césariennes, je crois pas qu'il y aie de limites, ma mère en a eu 5 et ne s'est jamais fait dire par les médecins qu'elle devait arrêter.
Je te souhaite de l'avoir ta belle grosse famille si c'Est ce que tu désire:)
Tu n'a peut-être pas eu un accouchement idéal mais ton trésor est maintenant là!
Pour ce qui est des césariennes, je crois pas qu'il y aie de limites, ma mère en a eu 5 et ne s'est jamais fait dire par les médecins qu'elle devait arrêter.
Je te souhaite de l'avoir ta belle grosse famille si c'Est ce que tu désire:)
mamanours- Parfum de Jardin platinium
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Re: La naissance de William (version longue)
ça été une épreuve comme accouchement mais heureusement tout le monde s'en sort bien! félicitation pour ton petit homme!
cloutiere- Parfum de Jardin platinium
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Date d'inscription : 20/03/2008
Re: La naissance de William (version longue)
Wow ton récit est vraiment rempli d'émotion. J'ai eu des frissons à te lire.
Félicitations pour ton beau William
Félicitations pour ton beau William
Piglet- Douce brise privilégiée
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Date d'inscription : 13/04/2006
Re: La naissance de William (version longue)
J'espère!mamanours a écrit:
Pour ce qui est des césariennes, je crois pas qu'il y aie de limites, ma mère en a eu 5 et ne s'est jamais fait dire par les médecins qu'elle devait arrêter.
Je viens de savoir que j'aurais du avoir un rendez-vous avec ma gényco a 6 semaines... Je la vois bientôt, vais lui poser la question!
Ziel- Petite Abeille
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Date d'inscription : 17/06/2008
Re: La naissance de William (version longue)
Premièrement, FÉLICITATION!
Profite amplement de nouveau née et n'ésite pas a utilisé tout les moyens que tu désireras pour faire le deuil de ton accouchement "de rêve" pour faire la paix avec la naissance de ton merveilleux trésors.
Tu as le droit de même si ça c'est bien terminé, de poser des questions et de rêver à mieu pour la prochaine fois!
D'ailleur, je ne vois riens a priorie dans ton récit qui indique que ton histoire risque de se reproduire au prochain.
Chaque grossesse et chaque naissance est unique et peu être complètement différent.
Les risques lié à la césarienne augmente à chaque césarienne, par exemple il y a plus de risque d'adérance ou d'amincisement au niveau de la cicatrice(donc de rupture) et c'est pourquoi certain médecin "déconseille" une 3e, 4e ou 5e grossesses etc.
Pour les adérances, tu peux tout de suite mettre toutes les chances de ton coté et masser ta plaie, si tu en parle a ton médecin où a une infirmière informé sur le sujet, ils pourront te guidé sur comment faire.
Pour l'épaisseur de la parrois utérines, parrais que c'est sujet a interprétation... Certain médecin ne suivent même pas une 3e césariennes alors que d'autre n'ont aucun problème a suivre une 4e ou 5e, ça vaut la peine de s'informer.
La gynécologue qui m'a fait ma césarienne suivait sans problème jusqu'a 5 césariennes.
Mais j'ai entendu parler de filles qui se sont fait suggèrer la ligature des trompes sur la table d'opération de leur seconde césarienne en se fesant dire que la 3e grossesse serait risqué!!!?!!
Ça faut la peine de t'informer...
Même pour l'attente entre les grossesses... Ça faut vraiment la peine de faire des recherches. Certain doc veulent rien savoir de l'AVAC en bas de 2 ans entre les grossesses alors que pour les autres, tant que tu laisse 1 ans avant le début des prochains essais y a aucun problème... Et même là, ils peuvent "faire avec" si ça arrive plus vite.
Moi, il y a 17 mois entre mes deux grossesses et j'ai quand même eu un AVAC de rêve.
Je veux aussi 4 enfants, et c'est pour cela que j'ai choisis l'AVAC pour le deuxième car le risque pour moi relié a l'AVAC étaient moins grand que ceux de la 3e césariennes alors aditionné a ceux de la 4e césariennes, c'était VRAIMENT moins risqué dans mon cheminement de tenter l'AVAC.
Ça les médecins en tiennent pas vraiment compte, car c'est toujours le calculs du risque pour le moment présent et bien souvent, le calcul globale pour tous les cas d'AVAC et non pas de notre cas précis.
Faut relativisé toutes les choses... On peu se faire renverser demain par un autobus sur la route alors... C'est pas au médecin de te dire combien d'enfant tu peu avoir... C'est a toi de voir et de choisir de la façon la plus éclairé possible.
J'espère que ton doc sera du genre lanterne et pas coup de masse
Une césarienne peu être vécu très bien si jamais tu choisis cette option pour ton prochain, tout comme l'AVAC est tout a fait possible dans 80% des cas!
Bonne chance dans tout,
Ton récit m'a beaucoup touché, de l'avoir partagé...
Profite amplement de nouveau née et n'ésite pas a utilisé tout les moyens que tu désireras pour faire le deuil de ton accouchement "de rêve" pour faire la paix avec la naissance de ton merveilleux trésors.
Tu as le droit de même si ça c'est bien terminé, de poser des questions et de rêver à mieu pour la prochaine fois!
D'ailleur, je ne vois riens a priorie dans ton récit qui indique que ton histoire risque de se reproduire au prochain.
Chaque grossesse et chaque naissance est unique et peu être complètement différent.
En fait, je veux 4 enfants! Sauf que par césarienne c'est 3 max je crois non?
Les risques lié à la césarienne augmente à chaque césarienne, par exemple il y a plus de risque d'adérance ou d'amincisement au niveau de la cicatrice(donc de rupture) et c'est pourquoi certain médecin "déconseille" une 3e, 4e ou 5e grossesses etc.
Pour les adérances, tu peux tout de suite mettre toutes les chances de ton coté et masser ta plaie, si tu en parle a ton médecin où a une infirmière informé sur le sujet, ils pourront te guidé sur comment faire.
Pour l'épaisseur de la parrois utérines, parrais que c'est sujet a interprétation... Certain médecin ne suivent même pas une 3e césariennes alors que d'autre n'ont aucun problème a suivre une 4e ou 5e, ça vaut la peine de s'informer.
La gynécologue qui m'a fait ma césarienne suivait sans problème jusqu'a 5 césariennes.
Mais j'ai entendu parler de filles qui se sont fait suggèrer la ligature des trompes sur la table d'opération de leur seconde césarienne en se fesant dire que la 3e grossesse serait risqué!!!?!!
Ça faut la peine de t'informer...
Même pour l'attente entre les grossesses... Ça faut vraiment la peine de faire des recherches. Certain doc veulent rien savoir de l'AVAC en bas de 2 ans entre les grossesses alors que pour les autres, tant que tu laisse 1 ans avant le début des prochains essais y a aucun problème... Et même là, ils peuvent "faire avec" si ça arrive plus vite.
Moi, il y a 17 mois entre mes deux grossesses et j'ai quand même eu un AVAC de rêve.
Je veux aussi 4 enfants, et c'est pour cela que j'ai choisis l'AVAC pour le deuxième car le risque pour moi relié a l'AVAC étaient moins grand que ceux de la 3e césariennes alors aditionné a ceux de la 4e césariennes, c'était VRAIMENT moins risqué dans mon cheminement de tenter l'AVAC.
Ça les médecins en tiennent pas vraiment compte, car c'est toujours le calculs du risque pour le moment présent et bien souvent, le calcul globale pour tous les cas d'AVAC et non pas de notre cas précis.
Faut relativisé toutes les choses... On peu se faire renverser demain par un autobus sur la route alors... C'est pas au médecin de te dire combien d'enfant tu peu avoir... C'est a toi de voir et de choisir de la façon la plus éclairé possible.
J'espère que ton doc sera du genre lanterne et pas coup de masse
Une césarienne peu être vécu très bien si jamais tu choisis cette option pour ton prochain, tout comme l'AVAC est tout a fait possible dans 80% des cas!
Bonne chance dans tout,
Ton récit m'a beaucoup touché, de l'avoir partagé...
Lionne- Charmeuse de Miel d'Or
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