j'ai besoin d'un prof .....(long un ti peu)

j ai ecrit un text et j aimerais le faire corriger.................est qu une d entre vous serais asser gentille pour m aider

beaucoup

voici mon text............


Qui aurait cru qu’un jour une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constaté lundi passé en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville de Montréal.


J’ai été surprise par le charme de cet édifice et aussi par son architecture. Faite en partie de matériaux recyclés. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps fabriqué à partir d’anciens matériaux de La ronde .Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènes à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.


Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main, grâces à des bancs rétractables. Les murs de la salle on été pensés de telle sorte que le son ne rebondi pas sur les murs, on évite donc l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui ce passe en piste, et ce peut importe l’endroit ou il est assis.


La Tohu nous parle en images partout ou l’ont regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableau suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’aire. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il va être dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement, lors de notre visite c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre nos place avant le spectacle. Cette exposition d’objet, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.


La Tohu offre au résident du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacle gratuit ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier, à compétence égale un résident de Saint-Michel a plus de chance de travailler à La Tohu que tout autres résident de Montréal.



La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air qui est aspirée de l’ extérieur, par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de la refroidir en été, et ce de prêt de sept degrés.
Cette air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace, pour être dirigée vers le haut de la salle spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée .Le froid descend, le long des gradins, et ce transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit, cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sur, à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et l’ont doit recommencer, à la faire geler, si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre et par cette vitre on peut voir le bloc de glace.



Pour ce qui est du chauffage la Tohu doit comptée sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant les gaz forme de la vapeur et c’est grâce è cette vapeur et une conduite d’eau, que les planchers de la Tohu son chauffée. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la couler. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les plancher en entier.




Avec la Tohu rien ne ce perd, pas même l’eau de pluie. En effet la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grand bassin le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.

Qui aurait cru qu’un jour une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constater lundi passé en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville de Montréal.

là ici ya de quoi qui cloche, ta 2e phrase, il lui manque de quoi, p-e juste ajouter "Elle est fabriquée en partie de matériaux recyclés" ou de quoi de meme parce que ca sonne weird un peu)

J’ai été surprise par le charme de cet édifice et aussi par son architecture. Fait en partie de matériaux recyclés. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps fabriqué à partir d’anciens matériaux de La ronde .Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènent à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.


Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main grâce à des bancs rétractables. Les murs de la salle ont été pensés (pas sure le s a la fin) de telle sorte que le son ne rebondi pas sur les murs, on évite donc l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui se passe en piste, et ce peu importe l’endroit où il est assis.


La Tohu nous parle en images (le s pas certaine encore)partout où l’on regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableaux suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’air. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il va être dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement, lors de notre visite c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre notre place avant le spectacle. Cette exposition d’objets, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.


La Tohu offre aux résidents du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacles gratuits ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier, à compétence égale un résident de Saint-Michel a plus de chance de travailler à La Tohu que tout autre résident de Montréal.



La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air qui est aspirée de l’extérieur, par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de la refroidir en été, et ce de près de sept degrés.
Cet air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace, pour être dirigé vers le haut de la salle spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée. Le froid descend, le long des gradins, et se transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit, cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sur, à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et on doit recommencer à la faire geler si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre et par cette vitre on peut voir le bloc de glace.



Pour ce qui est du chauffage la Tohu doit compter sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant, les gaz forment de la vapeur et c’est grâce à cette vapeur et une conduite d’eau, que les planchers de la Tohu son chauffés. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la coulée. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les planchers en entier.




Avec la Tohu rien ne ce perd, pas même l’eau de pluie. En effet la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grands bassins le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.





P-e il en reste mais jai fait de mon mieux

Qui aurait cru qu’un jour une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constater lundi passé en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville de Montréal.

J’ai été surprise par le charme de cet édifice et aussi par son architecture. Fait en partie de matériaux recyclés. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps fabriqué à partir d’anciens matériaux de La ronde .Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènent à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.

Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main grâce à des bancs rétractables. Les murs de la salle ont été pensés de telle sorte que le son ne rebondit pas sur les murs, on évite donc l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui se passe en piste, et ce peu importe l’endroit où il est assis.

La Tohu nous parle en images partout où l’on regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableaux suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’air. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif, notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il sera dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement, lors de notre visite c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre notre place avant le spectacle. Cette exposition d’objets, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.

La Tohu offre aux résidents du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacles gratuits ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier, à compétence égale un résident de Saint-Michel a plus de chance de travailler à La Tohu que tout autre résident de Montréal.

La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air, qui est aspirée de l’extérieur par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de la refroidir en été, et ce de près de sept degrés. Cet air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace pour être dirigé vers le haut de la salle spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée. Le froid descend, le long des gradins, et se transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit, cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sur, à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et on doit recommencer à la faire geler si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre et par cette vitre on peut voir le bloc de glace.

Pour ce qui est du chauffage, la Tohu doit compter sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant, les gaz forment de la vapeur et c’est grâce à cette vapeur et une conduite d’eau, que les planchers de la Tohu sont chauffés. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la coulée. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les planchers en entier.

Avec la Tohu rien ne se perd, pas même l’eau de pluie. En effet la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grands bassins le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps, l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.


J'ai modifié aussi certaines ponctuations mais je ne les ai pas identifié par contre !!

Qui aurait cru qu’un jour une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constater lundi passé en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville de Montréal.

J’ai été surprise par le charme de cet édifice et aussi par son architecture, fait en partie de matériaux recyclés. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps, fabriqué à partir d’anciens matériaux de La ronde .Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènent à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.

Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main grâce à des bancs rétractables. Les murs de la salle ont été pensés de telle sorte que le son ne rebondit pas sur les murs, on évite donc l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui se passe en piste, et ce, peu importe l’endroit où il est assis.

La Tohu nous parle en images partout où l’on regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableaux suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’air. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif, notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il sera dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement. Lors de notre visite, c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre notre place avant le spectacle. Cette exposition d’objets, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.

La Tohu offre aux résidents du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacles gratuits ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier, à compétence égale un résident de Saint-Michel a plus de chances de travailler à La Tohu que tout autre résident de Montréal.

La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air, qui est aspiré de l’extérieur par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de la refroidir en été, et ce de près de sept degrés. Cet air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace pour être dirigé vers le haut de la salle spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée. Le froid descend, le long des gradins, et se transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit. Cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sur, à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et on doit recommencer à la faire geler si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre dans laquelle on peut voir le bloc de glace.

Pour ce qui est du chauffage, la Tohu doit compter sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant, les gaz forment de la vapeur et c’est grâce à cette vapeur et une conduite d’eau, que les planchers de la Tohu sont chauffés. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la coulée. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les planchers en entier.

Avec la Tohu rien ne se perd, pas même l’eau de pluie. En effet, la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grands bassins le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps, l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.
[/b]

Voilà, je crois pu qui reste de fautes!!

Qui aurait cru qu’un jour une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constater lundi passé en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville de Montréal.

J’ai été surprise par le charme de cet édifice et aussi par son architecture, fait en partie de matériaux recyclés. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps, fabriqué à partir d’anciens matériaux de La ronde .Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènent à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.

Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main grâce à des bancs rétractables. Les murs de la salle ont été pensés de telle sorte que le son ne rebondit pas sur les murs, on évite donc l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui se passe en piste, et ce, peu importe l’endroit où il est assis.

La Tohu nous parle en images partout où l’on regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableaux suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’air. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif, notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il sera dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement. Lors de notre visite, c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre notre place avant le spectacle. Cette exposition d’objets, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.

La Tohu offre aux résidents du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacles gratuits ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier, à compétence égale un résident de Saint-Michel a plus de chances de travailler à La Tohu que tout autre résident de Montréal.

La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air, qui est aspiré de l’extérieur par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de la refroidir en été, et ce de près de sept degrés. Cet air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace pour être dirigé vers le haut de la salle de spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée. Le froid descend, le long des gradins, et se transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit. Cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sur (?sûr?), à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et on doit recommencer à la faire geler si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre par laquelle on peut voir le bloc de glace.

Pour ce qui est du chauffage, la Tohu doit compter sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant, les gaz forment de la vapeur et c’est grâce à cette vapeur et une conduite d’eau, que les planchers de la Tohu sont chauffés. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la coulée. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les planchers en entier.

Avec la Tohu rien ne se perd, pas même l’eau de pluie. En effet, la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grands bassins le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps, l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.
[/b]

ca cest du travail d'équipe!!!!

Sujet: j'ai besoin d'un prof .....(long un ti peu) Aujourd'hui à 8:29

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Qui aurait cru qu’un jour une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constater lundi passé ( dernier) en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville de Montréal.

J’ai été surprise par le charme de cet édifice et aussi par son architecture, fait en partie de matériaux recyclés. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps, fabriqué à partir d’anciens matériaux de La ronde .Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènent à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.

Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main grâce à des bancs rétractables. Les murs de la salle ont été pensés de telle sorte que le son ne rebondit pas sur les murs, on évite donc l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui se passe en piste, et ce, peu importe l’endroit où il est assis.( spectateurs=ils sont assis)

La Tohu nous parle en images partout où l’on regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableaux suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’air. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif, notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il sera dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement. Lors de notre visite, c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre notre place avant le spectacle. Cette exposition d’objets, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.

La Tohu offre aux résidents du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacles gratuits ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier, à compétence égale un résident de Saint-Michel a plus de chances de travailler à La Tohu que tout autre résident de Montréal.

La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air, qui est aspiré de l’extérieur par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de la refroidir en été, et ce de près de sept degrés. Cet air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace pour être dirigé vers le haut de la salle de spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée. Le froid descend, le long des gradins, et se transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit. Cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sur (?sûr?), à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et on doit recommencer à la faire geler si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre par laquelle on peut voir le bloc de glace.

Pour ce qui est du chauffage, la Tohu doit compter sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant, les gaz forment de la vapeur et c’est grâce à cette vapeur et une conduite d’eau, que les planchers de la Tohu sont chauffés. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la coulée. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les planchers en entier.

Avec la Tohu rien ne se perd, pas même l’eau de pluie. En effet, la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grands bassins le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps, l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.
[/b]



Voilà, là je crois que ca y est, faudrait que MIsskarine passe par ici aussi!

les filles...............comme ca je suis certaine de pas perdre a point a cause de mes fautes

Qui aurait cru, (virgule) qu’un jour, (virgule) une salle de spectacle serait aménagée sur un site d’enfouissement de déchets et cela, (virgule) dans un quartier qui a mauvaise réputation. C’est ce que nous avons pu constater lundi dernier en allant visiter la Tohu dans le quartier Saint-Michel de la ville (j'écrirais ville avec V majuscule)de Montréal.

J’ai été surprise par le charme de cet édifice, fait en partie de matériaux [/b]recyclés (j'ai changé cette partie de place), et aussi par son architecture. La Tohu nous fait voyager dans le temps malgré elle, avec son garde-corps (pas de virgule) fabriqué à partir d’anciens matériaux de La Ronde . Que dire des poutres des anciennes Shop Angus qui nous ramènent à l’époque des travailleurs en usine. La Tohu est unique en son genre. Au Québec, le bâtiment a reçu la médaille d’or de la certification LEED.

Du hall d’entrée, on peut voir le grand escalier qui nous mène jusqu’au plus haut niveau des gradins de la salle de spectacle. La salle est disposée ainsi : une scène centrale et des gradins en ¾ de rond. Les gradins peuvent être aménagés de plusieurs façons en un tour de main grâce à des bancs rétractables. Les murs de la salle ont été pensés de telle sorte que le son ne rebondit pas sur les murs, afin d'éviter l’effet écho. La scène ronde permet aux spectateurs de bien voir tout ce qui se passe en piste (pas de virgule) et ce, peu importe l’endroit où ils sont assis.

La Tohu nous parle en images partout où l’on regarde. Au plafond du hall, il y a quatre tableaux suspendus qui nous rappellent les quatre éléments de la Terre, soit : l’eau, le feu, la terre et l’air. Ce sont les quatre éléments vitaux pour notre planète. Sur l’écran interactif, notre guide nous a montré comment était le site dans les années 70-80, comment il est aujourd’hui et comment il sera dans une quinzaine d’années. Une exposition est aménagée à même le hall. Cette exposition change régulièrement. Lors de notre visite, c’était une exposition de peinture représentant des clowns. Une exposition permanente tout autour de la scène peut être admirée en passant pour aller prendre notre place avant le spectacle. Cette exposition d’objets, qui relate l’histoire du cirque, a bien sa place dans ce chapiteau rigide qu’est La Tohu.

La Tohu offre aux résidents du quartier Saint-Michel un bon nombre de spectacles gratuits ou à prix réduit. Elle offre aussi des emplois en privilégiant les résidents du quartier. En effet, à compétence égale, (virgule) un résident de Saint-Michel a plus de chances de travailler à La Tohu que tout autre résident de Montréal.

La Tohu est dotée d’un système de climatisation assez particulier. Celui-ci consiste en un système d’air refroidi par un bloc de glace. L’air, qui est aspiré de l’extérieur par le système de ventilation, passe par des conduites qui sont à deux mètres dans le sol, ce qui permet de réchauffer l’air en hiver et de le refroidir en été (pas de virgule) et ce, (virgule) de près de sept degrés. Cet air ainsi aspiré passe ensuite dans le bloc de glace pour être dirigé vers le haut de la salle de spectacle, rafraîchissant ainsi les spectateurs toute la soirée. Le froid descend (pas de virgule) le long des gradins (pas de virgule) et se transforme en air chaud qui est aspiré par une ouverture au toit. Cette ouverture agit un peu comme une cheminée. Bien sûr, à la fin de la soirée, la glace est redevenue de l’eau et on doit recommencer à la faire geler si un spectacle est prévu pour le lendemain soir. En allant à la Tohu, (virgule) vous pourrez voir, dans le plancher du hall, une vitre par laquelle on peut voir le bloc de glace.

Pour ce qui est du chauffage, la Tohu doit compter sur la compagnie Gazmont. Cette compagnie, voisine de la Tohu, brûle le biogaz pour en faire de l’électricité. En brûlant, les gaz forment de la vapeur et c’est grâce à cette vapeur et une conduite d’eau (pas de virgule) que les planchers de la Tohu sont chauffés. Une conduite d’eau en serpentin a été insérée dans la dalle lors de la coulée. Cette même conduite passe dans un bac de vapeur, ce qui réchauffe l’eau. L’eau ainsi chauffée revient dans les tuyaux de la dalle, ce qui chauffe les planchers en entier.

Avec la Tohu, (virgule) rien ne se perd, pas même l’eau de pluie. En effet, la pluie qui tombe du toit est récupérée dans de grands bassins le long du bâtiment. L’eau est retenue dans ces bassins par des toiles géotextiles et de l’argile. Après un certain temps, l’eau s’évapore ou entre dans le sol très lentement. La prochaine fois que vous irez à la Tohu, prenez deux minutes pour observer les plantes aquatiques qui poussent dans ce marais artificiel.

les filles je viendrai vous donner ma note