Potins du 24 novembre 2006
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Re: Potins du 24 novembre 2006
1930-2006
Philippe Noiret n'est plus
C'était un des acteurs les plus populaires du cinéma français. Philippe Noiret s'est éteint à l'âge de 76 ans, a-t-on appris auprès du ministère de la Culture.
L'acteur avait reçu le César du meilleur acteur en 1976 pour Le Vieux Fusil de Robert Enrico et en 1990 pour La Vie et rien d'autre de Bertrand Tavernier.
Il avait tourné dans près de 130 films, de La Vie de Château aux Ripoux, en passant par Le Juge et l'Assassin à Père et Fils.
Interrogé sur France Info, le réalisateur Patrice Leconte, qui l'a dirigé dans les films Tango et Les Grands Ducs, a expliqué avoir appris «il n'y a pas très longtemps que Philippe était très , qu'il n'en avait plus pour très longtemps, j'osais pas le croire, et en même temps on sait bien que quand ça arrive, ça arrive».
«Et là, quand j'ai appris ce soir qu'il était parti, sans même avoir le temps de tirer sa révérence, ça m'a attristé, évidemment, ça nous attriste tous, mais hélas, ça ne m'a pas surpris, puisque quand les gens sont très atteints par la maladie, cette saloperie de cancer, ils disparaissent vite».
On avait souvent vu Philippe Noiret fumer le cigare dans ses rôles, se souvient-il, «il avait un côté notable, mais derrière cette allure de notable, il y avait des folies, c'est ça que j'avais envie de retenir ce soir», a-t-il dit.
Phillipe Noiret 1930-2006
Le premier ministre français, Dominique de Villepin, a réagi avec «beaucoup d'émotion et de tristesse».
«Avec sa disparition, c'est toute la famille du théâtre et du cinéma français qui se trouve orpheline», a estimé M. de Villepin dans un communiqué. «Car Philippe Noiret n.était pas seulement un acteur exceptionnel qui a travaillé avec les plus grands, de Gérard Philippe à Jean Vilar, de Louis Malle à Bertrand Blier, de Bertrand Tavernier à Patrice Leconte et Claude Chabrol», a-t-il poursuivi.
Il a salué un acteur incarnant un «cinéma exigeant et généreux», qui a fait «vivre des personnages inoubliables, des personnages vrais, complexes, auxquels il parvenait toujours à donner une humanité et une grandeur exceptionnelles. A travers sa voix, son allure, son panache, Philippe Noiret a su saisir et exprimer quelque chose de l'âme française».
«Il manquera à tous les Français, qui lui ont manifesté pendant plus de cinquante ans un attachement et une fidélité profonde. L'homme empreint d'une humanité profonde, l'artiste généreux, l'ami fidèle et attentif, la silhouette et la voix si tendre et familière manqueront à tous», ajoute le premier ministre, qui «exprime toutes ses condoléances à son épouse Monique, à sa fille Frédérique, à ses proches et à ses amis».
http://www.canoe.com/divertissement/cinema/nouvelles/2006/11/23/2460824-ca.html?03a043acba21482da52ca0d7da3945da
Philippe Noiret n'est plus
C'était un des acteurs les plus populaires du cinéma français. Philippe Noiret s'est éteint à l'âge de 76 ans, a-t-on appris auprès du ministère de la Culture.
L'acteur avait reçu le César du meilleur acteur en 1976 pour Le Vieux Fusil de Robert Enrico et en 1990 pour La Vie et rien d'autre de Bertrand Tavernier.
Il avait tourné dans près de 130 films, de La Vie de Château aux Ripoux, en passant par Le Juge et l'Assassin à Père et Fils.
Interrogé sur France Info, le réalisateur Patrice Leconte, qui l'a dirigé dans les films Tango et Les Grands Ducs, a expliqué avoir appris «il n'y a pas très longtemps que Philippe était très , qu'il n'en avait plus pour très longtemps, j'osais pas le croire, et en même temps on sait bien que quand ça arrive, ça arrive».
«Et là, quand j'ai appris ce soir qu'il était parti, sans même avoir le temps de tirer sa révérence, ça m'a attristé, évidemment, ça nous attriste tous, mais hélas, ça ne m'a pas surpris, puisque quand les gens sont très atteints par la maladie, cette saloperie de cancer, ils disparaissent vite».
On avait souvent vu Philippe Noiret fumer le cigare dans ses rôles, se souvient-il, «il avait un côté notable, mais derrière cette allure de notable, il y avait des folies, c'est ça que j'avais envie de retenir ce soir», a-t-il dit.
Phillipe Noiret 1930-2006
Le premier ministre français, Dominique de Villepin, a réagi avec «beaucoup d'émotion et de tristesse».
«Avec sa disparition, c'est toute la famille du théâtre et du cinéma français qui se trouve orpheline», a estimé M. de Villepin dans un communiqué. «Car Philippe Noiret n.était pas seulement un acteur exceptionnel qui a travaillé avec les plus grands, de Gérard Philippe à Jean Vilar, de Louis Malle à Bertrand Blier, de Bertrand Tavernier à Patrice Leconte et Claude Chabrol», a-t-il poursuivi.
Il a salué un acteur incarnant un «cinéma exigeant et généreux», qui a fait «vivre des personnages inoubliables, des personnages vrais, complexes, auxquels il parvenait toujours à donner une humanité et une grandeur exceptionnelles. A travers sa voix, son allure, son panache, Philippe Noiret a su saisir et exprimer quelque chose de l'âme française».
«Il manquera à tous les Français, qui lui ont manifesté pendant plus de cinquante ans un attachement et une fidélité profonde. L'homme empreint d'une humanité profonde, l'artiste généreux, l'ami fidèle et attentif, la silhouette et la voix si tendre et familière manqueront à tous», ajoute le premier ministre, qui «exprime toutes ses condoléances à son épouse Monique, à sa fille Frédérique, à ses proches et à ses amis».
http://www.canoe.com/divertissement/cinema/nouvelles/2006/11/23/2460824-ca.html?03a043acba21482da52ca0d7da3945da
Re: Potins du 24 novembre 2006
Le bonheur à 42 ans
L’interprète de Susan Mayer dans la série Desperate Housewives est devenue un sexe-symbole en Amérique du Nord à l’âge de 40 ans. Deux ans plus tard, sa popularité ne lui a cependant pas apporté l’amour. Teri Hatcher, qui est deux fois divorcée, est toutefois une maman comblée. Désespérée? Sûrement pas!
Teri, vous êtes célibataire, mais on vous a souvent vue poser avec des hommes pour le moins sexy...
Mettons une chose au clair: il n’y a personne dans ma vie. Et, en fait, j’ai le même problème que toutes les femmes célibataires: où pourrais-je rencontrer un homme ailleurs qu’au travail ou au cours d’une rencontre arrangée par une amie? Je travaille chaque jour avec les mêmes personnes, et toutes mes amies sont mariées, alors... Aucun homme ne vient frapper à ma porte. Si j’étais amoureuse, je ne m’en cacherais pas. De toute façon, je me considère comme chanceuse d’avoir du succès dans ma carrière, et je ne veux pas demander la lune.
Croyez-vous que nous avons tous une âme sœur?
Je l’espère, même si je n’en suis pas sûre. Je crois qu’il existe plus d’une personne pour chacun d’entre nous. En vieillissant, il devient plus difficile de rencontrer de nouvelles personnes, mais on se connaît davantage, ce qui nous permet de savoir plus sûrement qui ferait un bon parti. J’espère ne plus faire de mauvais choix en amour. Je préfère être célibataire qu’être mal assortie.
Vous avez connu deux divorces. Savez-vous maintenant ce qu’il faut éviter dans le mariage?
Si je ne sais toujours pas ce que je veux, je sais maintenant ce que je ne veux pas. Mes antennes m’aident à sentir quels hommes je dois éviter, entre autres ceux qui mentent, qui sont trop changeants et instables. Je ne suis pas originale: je cherche quelqu’un d’intelligent, de gentil, de drôle et qui a le sens de l’aventure. Mais on ne sait jamais ce qu’on peut trouver sous l’enveloppe extérieure. J’ai appris à me méfier des beaux grands ténébreux.
Vous n’avez plus envie de prendre des risques?
Je n’ai pas eu d’amoureux depuis mon deuxième divorce (d’avec l’acteur Jon Tenney, en 2003). C’est beau si j’ai eu une date ou deux au cours des trois dernières années. Disons que je suis beaucoup plus prudente qu’avant. Et puis, je suis très occupée par mon métier, mais aussi par ma fille, Emerson. Ce sont les deux priorités de ma vie. Je suis vraiment comblée en ce moment et je n’ai pas envie de me plaindre d’être célibataire. Mais, cela dit, je ne suis pas immunisée contre l’amour. La fin de semaine dernière, Emerson était avec son père, et je me suis dit: «C’est samedi soir. Ça serait bien d’avoir quelqu’un avec qui aller au resto.»
Le succès et l’amour semblent peu compatibles...
Le genre de personne que je cherche ne serait pas rebutée ou attirée par cet aspect de ma vie. Le succès et la gloire sont des choses superficielles, et je ne veux pas d’un homme insignifiant.
Comment vous y prenez-vous pour protéger votre fille contre le côté superficiel du showbiz?
Vous voyez ces biscuits et ce gâteau au fromage que je vous ai apportés? Je les ai faits avec Emerson. La célébrité ne m’a pas changée, et ça ne changera pas ma fille. En fait, cela nous permet d’être la personne qu’on désire être. Hier soir, nous avons cuisiné des fèves, nous avons écouté de la musique et dansé autour de la table pendant que ça cuisait. Nous nous amusons comme des folles.
Qu’aimeriez-vous léguer à votre fille?
Pour elle, je ne suis pas une femme sexy posant sur la page couverture d’un magazine, je suis sa maman. Elle m’accompagne quand je me rends à une séance de photos, et cela démystifie la chose. Elle s’amuse avec le photographe quand j’enfile ma robe. Après la séance, on va manger une pizza. Sur le plateau de tournage de la série, elle lit ou dessine dans son coin. Pour elle, je suis de toute évidence un exemple à suivre. Je fais donc attention à ce que je fais et à ce que je dis, ainsi qu’à la façon dont je traite les autres.
En 2005, vous avez reçu un trophée aux Golden Globe Awards (qui donne un avant-goût des Oscars) pour votre rôle dans Desperate Housewives. Quel effet cela vous a-t-il fait?
Je n’avais jamais reçu de Golden Globes et j’étais loin de m’y attendre. (Ses yeux sont embués par l’émotion.) Ç’a été un moment important. Lorsque je me suis mise à , Emerson m’a demandé si c’étaient des larmes de joie ou de tristesse. Heureusement, c’était de la joie que j’éprouvais.
Est-ce qu’il vous manque quelque chose?
Une nouvelle voiture. J’ai toujours la même vieille minoune. Je ne suis pas très matérialiste et je ne suis toujours pas friande de magasinage. Emerson a toujours ses vieux jouets. En tant que mère, je vis encore au jour le jour. Je change la litière du chat, je plie le linge, je fais la cuisine. Je raconte tout ça dans mon livre. (Burnt Toast: And Other Philosophies of Life, sorti en mai dernier.) J’y raconte comment une mère peut avoir l’impression d’avoir raté quelque chose, bien qu’elle fasse de son mieux, et plus encore.
Comment parvenez-vous à faire le plein d’énergie?
En étant créative dans mon rôle de mère. En sentant l’appui de ma fille, qui adore m’aider. Je n’ai pas le temps d’aller au gymnase, mais je fais un peu d’exercice à la maison. Je me sers de la machine elliptique ainsi que de poids et haltères, je fais des redressements assis et des push-ups. L’autre soir, j’en exécutais pendant qu’on faisait des charades, Emerson et moi. Et elle faisait des push-ups à son tour pendant que j’essayais de deviner une charade.
À 42 ans, quelle est votre définition du bonheur?
Faire un gâteau avec ma fille. Danser autour de la table de cuisine avec elle. Avoir un bon rôle dans une série sans s’enfler la tête pour autant. J’espère m’en rappeler à 80 ans et en être encore fière.
http://7jours.canoe.ca/primeurs-actualites/star-systeme/celebrites/2006/11/24/2474513-7j.html
L’interprète de Susan Mayer dans la série Desperate Housewives est devenue un sexe-symbole en Amérique du Nord à l’âge de 40 ans. Deux ans plus tard, sa popularité ne lui a cependant pas apporté l’amour. Teri Hatcher, qui est deux fois divorcée, est toutefois une maman comblée. Désespérée? Sûrement pas!
Teri, vous êtes célibataire, mais on vous a souvent vue poser avec des hommes pour le moins sexy...
Mettons une chose au clair: il n’y a personne dans ma vie. Et, en fait, j’ai le même problème que toutes les femmes célibataires: où pourrais-je rencontrer un homme ailleurs qu’au travail ou au cours d’une rencontre arrangée par une amie? Je travaille chaque jour avec les mêmes personnes, et toutes mes amies sont mariées, alors... Aucun homme ne vient frapper à ma porte. Si j’étais amoureuse, je ne m’en cacherais pas. De toute façon, je me considère comme chanceuse d’avoir du succès dans ma carrière, et je ne veux pas demander la lune.
Croyez-vous que nous avons tous une âme sœur?
Je l’espère, même si je n’en suis pas sûre. Je crois qu’il existe plus d’une personne pour chacun d’entre nous. En vieillissant, il devient plus difficile de rencontrer de nouvelles personnes, mais on se connaît davantage, ce qui nous permet de savoir plus sûrement qui ferait un bon parti. J’espère ne plus faire de mauvais choix en amour. Je préfère être célibataire qu’être mal assortie.
Vous avez connu deux divorces. Savez-vous maintenant ce qu’il faut éviter dans le mariage?
Si je ne sais toujours pas ce que je veux, je sais maintenant ce que je ne veux pas. Mes antennes m’aident à sentir quels hommes je dois éviter, entre autres ceux qui mentent, qui sont trop changeants et instables. Je ne suis pas originale: je cherche quelqu’un d’intelligent, de gentil, de drôle et qui a le sens de l’aventure. Mais on ne sait jamais ce qu’on peut trouver sous l’enveloppe extérieure. J’ai appris à me méfier des beaux grands ténébreux.
Vous n’avez plus envie de prendre des risques?
Je n’ai pas eu d’amoureux depuis mon deuxième divorce (d’avec l’acteur Jon Tenney, en 2003). C’est beau si j’ai eu une date ou deux au cours des trois dernières années. Disons que je suis beaucoup plus prudente qu’avant. Et puis, je suis très occupée par mon métier, mais aussi par ma fille, Emerson. Ce sont les deux priorités de ma vie. Je suis vraiment comblée en ce moment et je n’ai pas envie de me plaindre d’être célibataire. Mais, cela dit, je ne suis pas immunisée contre l’amour. La fin de semaine dernière, Emerson était avec son père, et je me suis dit: «C’est samedi soir. Ça serait bien d’avoir quelqu’un avec qui aller au resto.»
Le succès et l’amour semblent peu compatibles...
Le genre de personne que je cherche ne serait pas rebutée ou attirée par cet aspect de ma vie. Le succès et la gloire sont des choses superficielles, et je ne veux pas d’un homme insignifiant.
Comment vous y prenez-vous pour protéger votre fille contre le côté superficiel du showbiz?
Vous voyez ces biscuits et ce gâteau au fromage que je vous ai apportés? Je les ai faits avec Emerson. La célébrité ne m’a pas changée, et ça ne changera pas ma fille. En fait, cela nous permet d’être la personne qu’on désire être. Hier soir, nous avons cuisiné des fèves, nous avons écouté de la musique et dansé autour de la table pendant que ça cuisait. Nous nous amusons comme des folles.
Qu’aimeriez-vous léguer à votre fille?
Pour elle, je ne suis pas une femme sexy posant sur la page couverture d’un magazine, je suis sa maman. Elle m’accompagne quand je me rends à une séance de photos, et cela démystifie la chose. Elle s’amuse avec le photographe quand j’enfile ma robe. Après la séance, on va manger une pizza. Sur le plateau de tournage de la série, elle lit ou dessine dans son coin. Pour elle, je suis de toute évidence un exemple à suivre. Je fais donc attention à ce que je fais et à ce que je dis, ainsi qu’à la façon dont je traite les autres.
En 2005, vous avez reçu un trophée aux Golden Globe Awards (qui donne un avant-goût des Oscars) pour votre rôle dans Desperate Housewives. Quel effet cela vous a-t-il fait?
Je n’avais jamais reçu de Golden Globes et j’étais loin de m’y attendre. (Ses yeux sont embués par l’émotion.) Ç’a été un moment important. Lorsque je me suis mise à , Emerson m’a demandé si c’étaient des larmes de joie ou de tristesse. Heureusement, c’était de la joie que j’éprouvais.
Est-ce qu’il vous manque quelque chose?
Une nouvelle voiture. J’ai toujours la même vieille minoune. Je ne suis pas très matérialiste et je ne suis toujours pas friande de magasinage. Emerson a toujours ses vieux jouets. En tant que mère, je vis encore au jour le jour. Je change la litière du chat, je plie le linge, je fais la cuisine. Je raconte tout ça dans mon livre. (Burnt Toast: And Other Philosophies of Life, sorti en mai dernier.) J’y raconte comment une mère peut avoir l’impression d’avoir raté quelque chose, bien qu’elle fasse de son mieux, et plus encore.
Comment parvenez-vous à faire le plein d’énergie?
En étant créative dans mon rôle de mère. En sentant l’appui de ma fille, qui adore m’aider. Je n’ai pas le temps d’aller au gymnase, mais je fais un peu d’exercice à la maison. Je me sers de la machine elliptique ainsi que de poids et haltères, je fais des redressements assis et des push-ups. L’autre soir, j’en exécutais pendant qu’on faisait des charades, Emerson et moi. Et elle faisait des push-ups à son tour pendant que j’essayais de deviner une charade.
À 42 ans, quelle est votre définition du bonheur?
Faire un gâteau avec ma fille. Danser autour de la table de cuisine avec elle. Avoir un bon rôle dans une série sans s’enfler la tête pour autant. J’espère m’en rappeler à 80 ans et en être encore fière.
http://7jours.canoe.ca/primeurs-actualites/star-systeme/celebrites/2006/11/24/2474513-7j.html
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