SVP, dites moi que je suis pas rendu là!

Je te dirais que chaque grossesse est différente et chaque femme est différente. Notre corps change et ce n,est pas facile. Si tu t'arrêtes pour y penser, chaque seconde qui passe, tu es en train de fabriquer un petit être en-dedans de toi. Il y a quelques chose être fatiguée tu trouves pas? Grosse bédaine ou pas, les muscles travaillent différement et pas forcément bien. reposes-toi le plus possible, fait des étirements quand tu as 2 secondes et prends soin de toi. Comme mon médecin m'a dit aujourd'hui, c'est l'une des plus belle chose de porter un enfant, mais c'est aussi l'une des plus dure pour le corps.

Tu as beau ne pas avoir une grosse bédaine ,ta colonne courbe quand même,ton bassin s'élargie... Tout ça est Très normal!!

Écoute, j'arrive a 26 semaines et moi aussi j'ai une baisse d'énergie, en plus des nombreuses contractions que j'ai dans la journée.... A ma première grossesse j'ai commencer a resentir des contractions autour de 27 semaines, mais la ca fait au moins 2 semaines que j'en ai souvent.

Comme Stefywonderful dit, c'est la plus belle chose porter un enfant, mais c'est aussi très exigeant physiquement, surtout quand tu as d'autre enfant a la maison... comme moi, mon conjoint travail de soir, alors... le souper, vaisselle, , rangement, je me tappe toute ca... Je peux pas me reposer, alors... Toi repose toi le plus possible car quand maddox arrivera, ca se pourrait bien que les premiers mois... ca soit dure de se reposer.

bye bye
Marie qui est aussi un tantinet fatigué et qu'Olivier brule beaucoup ses jours ci.

Enceinte de William j'ai eu un 1er trimestre extrêmement difficile. Dès 19 semaines j'avais des contractions douloureuses donc arrêt de travail à 23 semaines.

Rendue vers 28 semaines, j'étais amorphe !! Mais 2 semaines plus tard je feelais top shape.

J'ai plusieurs amies qui ont aussi eu une diminution d'énergie vers 28 semaines. Mais après ça... la fiesta, l'insomnie, on ferait tout sans être fatiguée !

Beaucoup moins pire !
À William je me couchais à 19h30 pour me lever à 8h le matin et j'étais hyper fatiguée quand même. J'ai tenu ce rythme pendant près de 2 mois. J'étais écoeurée de dormir. Je pleurais sans cesse, je me trouvais plate de ne rien faire. Je n'étais même pas capable d'écouter un film. Au travail ça allait mais ouff c'était fatiguant. Mais j'avais des boss compréhensifs qui me permettaient de prendre plus de pauses si j'en avais vraiment beaucoup besoin.

Mais là, j'ai des rages de fatigue, mais pas trop pire. J'ai eu une semaine intense vers la 8e semaine, mais le reste c'est ok. Je me couche vers 22h et me lève vers 7h et je suis capable de tougher ma journée. Quelques fois par contre (comme hier) je suis trop fatiguée pour faire quoi que ce soit en soirée (même trop fatiguée pour manger !!) alors je me couche sur le divan pour 1 ou 2 heures pendant que mon chum prend la relève.

La fin de semaine je tente de faire une sieste, mais juste quand je suis fatiguée donc parfois c'est ok. Mais j'ai la chance d'avoir un bébé qui dort beaucoup aussi donc la fin de semaine on se lève vers 8h-9h. Et une sieste de 2 à 3h en début de PM (ou fin d'AM si c'est insupportable).

Par contre, je n'ai pas de nausées trop souvent (parfois aux odeurs, mais sans plus). À William, à 12 semaines j'ai perdu conscience, j'étais très étourdie. Je faisais de grosses chutes de pression qui m'ont même mené à l'hôpital.

Mais cette fois-ci, je sais ce qui cause plus mes chutes de pression donc j'évite ces situations (estomac vide pendant plus de 4h, douche ou trop chaude, trop de vapeurs, position debout prolongée de plus de 1h). Je fais donc attention et ça va beaucoup mieux

Mais un gros avantage... on le sait !

On sait que ça dure jusqu'au 3e mois (donc reste qu'une semaine dans mon cas).

On sait que la 28e semaine est plus difficile.

On sait (parfois !! Enfin dans mon cas) ce qu'est une vraie contraction et ce qu'est une fausse.

On connait nos limites (de force, d'endurance). On sait quand on a besoin d'un break, on n'est plus des superwomans.

On a appris beaucoup des grossesses précédentes, alors je crois que les grossesses suivantes sont habituellement plus faciles à supporter (bien que parfois très différente).