les fameuses crises grrrrr

Bonsoir les filles, je me tourne vers vous puisque je n ai pas le gout de recommencer le long processus du clsc lolll

Mon fils va avoir 3 ans en octobre et fait bcqqqqqqqq de crises pour tout et pour rien grrrr JE NE SUIS PLUS CAPABLE Pourtant a la garderie ca semble un ti ange hihihi ou presque! j ai essayer tous les trucs que le clsc m avait donner pour ma fille mais rien ne semble fonctionner sniffff

Vous avez pas un remede miracle qui trainerais qq part pour mopi ? hihihihi

Je vais être plate dans ma réponse,mais..de la patience.Il n'existe pas de trucs miracles pour passer au travers des crises des enfants.Ils en font à chaque âge,alors on s'en sortira pas du jour au lendemain...

non ca je le sais ben lolll mais je ne demande pas grand chose... juste les diminuer lolll

S'il existait un truc miracle,on le ferait toutes

En général,c'est pour quelle raison ses crises?Ça dure combien de temps?Est-ce que vous cédez ou vous trouvez un compromis?Il est comment pendant ses crises?Il se frappe,il crie,il va s'enfermer?

un rien peut le contrarier... QUAND JE VAIS LE CHERCHER A LA GARDERIE(il veux pas me voir) QUAND IL DEMANDE MAMAN ET QUE CEST PAPA QUI RÉPOND A SON BESOIN etc.... CEST L ENFER! sa peux durer de qq minutes a facilement 1h grrrr Pendant la crise oui iil se frappe la tete sur ce qu il trouve ou va directement renverser ce qu il y a sur la table(ex bol a soupe... raisin dans un plat) Le coin de réflexion a justement dans la cuisine pour que je puisse le voir mais quand j en peut plus il s en va dans sa chambre et cest aussi pire lolll Il crit tellement fort qu il n entends pas ce que je lui dit oufff Je sais il est dans cette fameuse passe et cette semaine il a fait tressss chaud lolll J ai aussi remarquer qu il ne dort pas bcq a la garderie(45 minutes a 1h30 gros max) j ai beau le coucher tot le soir il s endort pas avant 10h environs oufff

Mon fils fait pareil...et il a 2 1/2 ans.Mais je sais que j'ai un grand sensible,et il est très près de ses émotions.On m'a toujours dit qu'un enfant se fera pas mal plus qu'il ne le faut..ils connaissent leur limite,ils savent où arrêter.Ici,quand Félix lance quelque chose sous le coup de la colère,c'est directement dans sa chambre.Quand il sort de là,j'essaie de lui expliquer pourquoi je l'ai mis là.Il se sauve souvent et n'entend pas toujours ce que je dis,mais je le fais quand même.
Et pour les dodos..est-ce qu'il fait beaucoup d'activités physique?Allez-vous souvent au parc?Je sais que vers 2 ans,les cocos commencent souvent à tarder avant de s'endormir..

Les crises de colère: comment intervenir


Source: Investir dans l'enfance
Les causes
Les crises de colère font partie du développement normal de l’enfant, particulièrement à l’âge où celui-ci commence à apprendre à marcher. Les petits piquent des colères pour 3 raisons principales :
Parce qu’ils sont dépassés par leurs sentiments ou par leurs sensations de faim, de maladie, de confusion, d’impuissance, de frustration, de colère ou même de terreur. Un trottineur dont le vocabulaire est encore limité exprime ce qu’il ressent par des caprices ou par des crises de colère. Par exemple, il peut s’énerver de ne pas pouvoir n’en faire qu’à sa tête. Votre refus de lui céder peut le mettre en colère.
Parce qu’ils ont appris de leurs expériences précédentes qu’une crise de colère peut être récompensée. Si, par le passé, ils ont obtenu ce qu’ils voulaient après avoir eu un accès de rage, ils peuvent recommencer pour imposer leur volonté.
Parce qu’ils désirent attirer votre attention. Cela peut découler du fait qu’ils se sentent tenus à l’écart, ignorés ou seuls, ou, au contraire, du fait qu’ils ont l’habitude de monopoliser l’attention.
Comment faire face?
Quelles que soient les raisons des accès de colère de votre enfant, voici quelques lignes de conduite qui peuvent vous aider à y faire face :
Commencez par essayer d’apaiser et de calmer votre enfant, et tentez de lui parler. Si cela ne marche pas, parce qu’il est trop énervé, emmenez-le dans un endroit tranquille et sûr, et laissez-le à chaudes larmes. Restez à proximité de lui, mais remettez la discussion à plus tard.
Une fois qu’il l’acceptera, tenez-le tendrement contre vous et rassurez-le. Aidez-le à parler de ce qui s’est passé, de ce qu’il a ressenti et de la cause de sa colère.
Rappelez-vous que c’est important de ne pas lui céder quand il pique une colère, même si c’est très tentant de le faire quand il vous donne des coups de pieds et hurle en public. Même si vous ne cédez que très occasionnellement, vous lui apprenez que ses accès de colère sont un moyen efficace d’obtenir ce qu’il veut.
Faites preuve de patience et essayez de lui donner le bon exemple en maîtrisant votre propre colère et votre propre frustration. Évitez de vous emporter contre lui : cela ne ferait qu’aggraver les choses. Parfois, il suffit de s’éloigner pendant quelques minutes pour retrouver son calme.
Ne vous inquiétez pas de ce que pensent les gens autour de vous : pour chaque personne qui est critique à votre égard, il y en a une autre qui se montre compréhensive et qui compatit sincèrement. Concentrez-vous sur la meilleure manière d’affronter la situation et rappelez-vous que les parents parfaits n’existent pas.
Si vous pensez que les accès de colère de votre enfant sont de plus en plus fréquents ou que celui-ci a réellement beaucoup de difficulté à se calmer, parlez-en à son médecin.
Comment les prévenir?
Voici quelques conseils pour éviter que votre enfant ait des accès de colère :
Essayez d’éviter qu’il soit trop fatigué ou affamé. Quand vous sortez, prenez vos précautions et emportez un en-cas ou son jouet favori.
Si vous savez que vous vous rendez à un endroit qu’il trouvera ennuyeux, pensez à emporter des choses qui l’occuperont tout le temps.
Quand vous sortez ensemble, prévenez-le de ce qui l’attend. Si, par exemple, vous vous rendez à l’épicerie, dites-lui d’avance que vous n’allez pas lui acheter de gâterie, mais que vous le laisserez choisir les céréales à acheter.
Si vous voyez qu’il commence à manifester de l’agitation, incitez-le à parler de ce qu’il ressent : Est-il fatigué? A-t-il faim? Se sent-il à l’étroit? En l’encourageant à parler de ce qu’il ressent, vous pouvez l’aider à mieux contrôler ses émotions et à ne pas se laisser submerger par celles-ci.
Une fois que vous connaîtrez mieux votre enfant et que vous saurez quelles situations peuvent déclencher ses crises, vous pourrez éviter de nombreuses explosions de colère. Mais rappelez-vous qu’aucun parent ne peut systématiquement empêcher les crises de colère de son petit. Celles-ci sont une composante bien connue du développement de l’enfant, notamment au moment où il apprend à marcher.


Octobre 2008

la règle des 5 "C"

Pour avoir un sens, les règles doivent être Claires, Concrètes, Constantes, Cohérentes et Conséquentes; c’est la règle des cinq «C». Quand il existe un problème de discipline , c’est souvent parce que l’un de ces éléments fait défaut.

Tout d’abord, pour être clair, l’enfant doit comprendre pourquoi son comportement est inacceptable. S’il frappe quelqu'un, il doit pouvoir réaliser que la violence est inadmissible pour papa et maman, son éducatrice. Pour chaque règle, vous devez être capable d’en expliquer la raison à l’enfant; aucune d’elles ne doit être gratuite.

Une règle doit être concrète. Si on dit a un enfant de 4 ans «Je trouve désagréable ce que tu fais, fais des efforts…», concrètement, cela ne veut rien dire pour lui. Il faut plutôt qu’il sache ce que l'on attend de lui: «On marche dans la garderie».

L’enfant doit pouvoir se fier aux réactions des parents, de son éducatrice. Les règles doivent être prévisibles et constantes, bien qu’il soit parfois difficile de l’être dans des moments de stress ou de fatigue. Même les moments de bonne humeur ne doivent pas modifier les règles habituelles. Nous devons être fermes; dire deux fois la consigne, puis passer aux conséquences précédemment expliquées à l’enfant. De 5 à 10 ans, l’enfant peut retenir environ six règlements. Il vaut mieux en implanter peu, mais qu’elles soient constantes. N'oublions pas nous travaillons en préscolaire.

La cohérence: Eh oui, on doit montrer l’exemple! Si nous demandons à Simon de manger ses brocolis, mais qu'on n'en mange pas, c’est une incohérence. Si nous demandons à Léa de ne pas frapper sa sœur, mais que l'on donne parfois la fessée,que l'on demande aux enfants de ne pas mais que nous même nous émettons nos consignes à distance en criant, c’est aussi une incohérence. On ne peut implanter des règles ou des demandes aux enfants si nous même nous ne les appliquons pas. Pas toujours facile, n’est-ce pas?

Aussi, les règles transgressées doivent avoir une conséquence logique reliée à l’acte. Par exemple, si l'enfant insulte quelqu’un, il doit rendre service à la personne offensée ou encore faire une liste de ses qualités. S’il met le désordre, il doit remettre les choses en ordre. Il ne faut pas oublier qu’il est important pour l’enfant de parfois s’impliquer dans la décision. «Tu as le choix entre ranger tes jouets maintenant ou tout de suite après le souper». Impliquer l'enfant dans la dynamique et lui donner des choix lui transmet le sens des responsabilités et le respect.

Il est normal que tous les parents ou intervenants connaissent des moments d’impatience et de découragement, personne n’est parfait. Chaque enfant est unique et vient au monde avec son propre tempérament. Vous devez seulement établir et faire respecter des limites réalistes à l’intérieur d’un environnement stable et chaleureux

wow les filles! Présentement nous essayons de minimiser les exces de crise lorsque nous le pouvons... quand nous voyons qu il commence a s agiter et qu il a envie de commencer a crier, nous essayons de le faire parler(il ne parle pas bcq encore) en fait, nous lui mettons ses propre mots dans sa bouche (charles as-tu faim? charles est faché? pkoi? etc... sa semble vouloir s amélioré mais cest un travail de tous les jours et de tous les instants oufff il demande continuellement sa maman, je send de l insécurité aussi chez-lui... nous travaillons donc sur ca son pere et moi. Quand cest possible cest papa qui s occupe de sa fille et moi de fiston, mais aussitot que cest possible, ont échange car ma fille aussi a besoin de sa maman oufff vraiment pas evident d etre parent!!! hihihihi

tite-puce a écrit:wow les filles! Présentement nous essayons de minimiser les exces de crise lorsque nous le pouvons... quand nous voyons qu il commence a s agiter et qu il a envie de commencer a crier, nous essayons de le faire parler(il ne parle pas bcq encore) en fait, nous lui mettons ses propre mots dans sa bouche (charles as-tu faim? charles est faché? pkoi? etc... sa semble vouloir s amélioré mais cest un travail de tous les jours et de tous les instants oufff il demande continuellement sa maman, je send de l insécurité aussi chez-lui... nous travaillons donc sur ca son pere et moi. Quand cest possible cest papa qui s occupe de sa fille et moi de fiston, mais aussitot que cest possible, ont échange car ma fille aussi a besoin de sa maman oufff vraiment pas evident d etre parent!!! hihihihi

Wow super le travail d'equipe ... et avec les enfants le dicton cent fois sur le metier remet l'ouvrage n'est que plus vrai!!!